Pascal Aimar, Thierry Ardouin, Denis Bourges, Gilles Coulon, Olivier Culmann, Mat Jacob, Caty Jan, Philippe Lopparelli, Meyer, Patrick Tourneboeuf
The Trend Floue (10 photographers) has decided to photograph the Europe following a route through the twenty-five countries of the Union of 2004, trans. National zero. The road ahead does appear on any map. It begins in Cyprus and ends in Gibraltar. Today this route is 23 000 km. National zero is not a photographic subject. It is a trait in the Union, created in six months, passing the baton from stage to stage. Fate has put under their eyes of the people and landscapes, stories. Meetings. Seen on the roadside, asked, sometimes across. National zero exists.
Pascal Aimar, Thierry Ardouin, Denis Bourges, Gilles Coulon, Olivier Culmann, Mat Jacob, Caty Jan, Philippe Lopparelli, Meyer, Patrick Tourneboeuf.
Chercher une image n’est pas une fin. C’est là que tout commence. Dans ce laboratoire, la photographie explore une chimie faite de confrontations, d’assemblages et de chocs. Avec la conviction qu’un langage peut naître des images mises en commun. Que la combinaison de douze visions subjectives du monde et de ses aléas peut esquisser une forme d’objectivité.
L’écriture de Tendance floue est à lire dans l’entre-deux des photographies, dans leur dialogue. Le sens qu’elle veut donner aux images est aussi dans leurs marges.
Tendance floue appartient à ceux qui la font, au fil des productions. Cette indépendance est garante d’une certaine forme de liberté. Elle permet à chacun de se risquer sur des terres inconnues et d’être ramené à bon port. Elle est une conscience partagée qui suit la traction du monde et garde les fous de l’attraction.
Chacun s’est embarqué avec beaucoup d’utopie dans l’histoire, commencée il y a quinze ans. Cette utopie tient bon. Sa fragilité est un gage de liberté.
L’écriture de Tendance floue est à lire dans l’entre-deux des photographies, dans leur dialogue. Le sens qu’elle veut donner aux images est aussi dans leurs marges.
Tendance floue appartient à ceux qui la font, au fil des productions. Cette indépendance est garante d’une certaine forme de liberté. Elle permet à chacun de se risquer sur des terres inconnues et d’être ramené à bon port. Elle est une conscience partagée qui suit la traction du monde et garde les fous de l’attraction.
Chacun s’est embarqué avec beaucoup d’utopie dans l’histoire, commencée il y a quinze ans. Cette utopie tient bon. Sa fragilité est un gage de liberté.