18 décembre 2009
Hôtel particulier Durey de Sauroy - Paris IIIe
Dernier jour pour la braderie de livres17 décembre 2009
Hôtel particulier Durey de Sauroy - Paris IIIe
Soirée africaine – Oumar Ly et René Tanguy8 décembre 2009
Hôtel particulier Durey de Sauroy - Paris IIIe
Esthétique du vide – Christophe Luxereau22 novembre 2009
Carrousel du Louvre
Paris PhotoProgramme de rencontres/signatures
Vendredi 20 novembre
> 16h00 Sylvain Gouraud – pourlesexilés
> 16h30 Hermine Bourgadier
> 17h00 Gilbert Garcin – Mister G.
> 17h30 Bernard Guillot – Le pavillon blanc
> 18h00 Christophe Goussard – Les autres
> 18h30 Thibaut Cuisset – Une campagne photographique
> 16h30 Hermine Bourgadier
> 17h00 Gilbert Garcin – Mister G.
> 17h30 Bernard Guillot – Le pavillon blanc
> 18h00 Christophe Goussard – Les autres
> 18h30 Thibaut Cuisset – Une campagne photographique
> 19h00 Monique Deregibus – I love you for ever Hiba
> 19h15 Présentation de la revue Infra-Mince #5
avec l’Ecole Nationale de la Photographie d’Arles (éd. Actes Sud)
> 19h15 Présentation de la revue Infra-Mince #5
avec l’Ecole Nationale de la Photographie d’Arles (éd. Actes Sud)
Berlin
Stéphane Duroy
Mister G
Gilbert Garcin
Yves Gerbal, Christine Ollier
Christophe Luxereau
Christophe Luxereau
Dominique Moulon, Françoise Gaillard
Les yeux grands ouverts
Delphine Warin
Magali Jauffret, Edith Thoueille
La radicalisation du monde
Philippe Bazin
Georges Didi-Huberman, Christiane Vollaire
Hermine Bourgadier
Hermine Bourgadier
Michel Poivert
Le chemin de cécité
René Tanguy
Gaston-Paul Effa
Une campagne photographique
Thibaut Cuisset
Gilles A. Tiberghien
1297
Stéphane Duroy
Les antichambres
Anne Immelé
Corinne Maury
Dos à la mer
Geoffroy Mathieu
Asmara Dream
Marco Barbon
Cristina Ali Farah
I Love you for ever Hiba
Monique Deregibus
Les autres
Christophe Goussard
Christophe Dabitch
Hyper
Denis Darzacq
Amanda Crawley Jackson
Bons Baisers
Muriel Bordier
Lady Land
Bernard Descamps
pourlesexiles
Sylvain Gouraud
André Gunthert, Jean-Pierre Alaux, Cyrille Latour
Corpus
Catherine Poncin
Van Speybroeck Daan
Un hiver d’oise
Thierry Girard
Le pavillon blanc
Bernard Guillot
22 octobre 2009
in camera galerie - Paris
Berlin – Stéphane Duroy“Pour le malheur de l’Occident, parce que leurs destins se sont croisés, Staline, Rosa Luxembourg, Adolf Hitler, ont fait de Berlin la capitale de la douleur.
Dès sa proclamation le 9 novembre 1918 à Berlin, Weimar a eu une existence aléatoire, tant les réactions négatives ont été nombreuses et violentes, de l’intérieur mais également de l’extérieur : révolution (spartakiste), coups d’états (?. Kapp, A.Hitler), inflation (1923), dette de guerre (traité de Versailles).
Anéantie par la défaite, ces évènements ont précipité l’Allemagne dans un cauchemar de 71 ans.
Or l’élite, confuse dans ses analyses et souvent complice, n’a pas su anticiper l’enfer national-socialiste ni la suite communiste, et malgré la qualité de sa pensée, la nation allemande est devenue le laboratoire de ses propres démons.
Le 1er régime, brutal, a duré 12 ans (1933-1945) et a détruit les fondements éthiques de la civilisation occidentale.
En réaction, le 2e régime (1961-1989), pétri de bonnes intentions, n’a pas pu en définitive contenir ses pulsions totalitaires. Il a ruiné l’utopie socialiste en 28 ans.
Cette tragédie allemande a connu son épilogue le 9 novembre 1989 avec la chute du Mur.”
Dès sa proclamation le 9 novembre 1918 à Berlin, Weimar a eu une existence aléatoire, tant les réactions négatives ont été nombreuses et violentes, de l’intérieur mais également de l’extérieur : révolution (spartakiste), coups d’états (?. Kapp, A.Hitler), inflation (1923), dette de guerre (traité de Versailles).
Anéantie par la défaite, ces évènements ont précipité l’Allemagne dans un cauchemar de 71 ans.
Or l’élite, confuse dans ses analyses et souvent complice, n’a pas su anticiper l’enfer national-socialiste ni la suite communiste, et malgré la qualité de sa pensée, la nation allemande est devenue le laboratoire de ses propres démons.
Le 1er régime, brutal, a duré 12 ans (1933-1945) et a détruit les fondements éthiques de la civilisation occidentale.
En réaction, le 2e régime (1961-1989), pétri de bonnes intentions, n’a pas pu en définitive contenir ses pulsions totalitaires. Il a ruiné l’utopie socialiste en 28 ans.
Cette tragédie allemande a connu son épilogue le 9 novembre 1989 avec la chute du Mur.”
Stéphane Duroy, juillet 2009
16 octobre 2009
Galerie Numeriscausa - Paris
Christophe LuxereauEntre publicité et image de mode, les photographies de Christophe Luxereau semblent délicieusement osciller, faisant foisonner le luxe de détails et d’éléments esthétiques qui caractérisent ces deux genres. Les femmes y sont belles, les cadrages précieux et la mise en scène soignée. Elles semblent évoluer dans un monde de design gracieux et facile, aux lignes délicatement épurées.
7 octobre 2009
MEP/Festival @rt Outsiders
Christophe Luxereau – MEPEntre publicité et image de mode, les photographies de Christophe Luxereau semblent délicieusement osciller, faisant foisonner le luxe de détails et d’éléments esthétiques qui caractérisent ces deux genres. Les femmes y sont belles, les cadrages précieux et la mise en scène soignée. Elles semblent évoluer dans un monde de design gracieux et facile, aux lignes délicatement épurées.
30 septembre 2009
Galerie Fait & Cause - Paris
Les yeux grands ouverts – Delphine WarinJ’ai rencontré Édith Thoueille, puéricultrice et responsable du Service d’Aide à la Parentalité des Personnes Handicapés (SAPPH), Paris 14e, qui depuis vingt ans accomplit un travail exceptionnel auprès de femmes non-voyantes désirant avoir un enfant. Elle s’acharne à combattre les préjugés et encourage ces femmes à faire le pas.
Cette rencontre fut déterminante : j’ai vu et photographié Édith accompagnant et guidant cette jeune mère aveugle et son bébé, et puis il y eut les autres… J’observais avec attention ces femmes se comporter avec tant de justesse et de précision avec leur enfant, et je les admirais.
J’ai alors tenté d’imaginer, de fermer les yeux, naïvement, pour voir ce qu’elles ne voient pas. Sans succès, car en les côtoyant, je me suis rendu compte qu’elles voyaient ce que je ne voyais pas, et inversement.
Et il m’a semblé absurde d’essayer de comparer ou de chercher une différence.
Delphine Warin
Cette rencontre fut déterminante : j’ai vu et photographié Édith accompagnant et guidant cette jeune mère aveugle et son bébé, et puis il y eut les autres… J’observais avec attention ces femmes se comporter avec tant de justesse et de précision avec leur enfant, et je les admirais.
J’ai alors tenté d’imaginer, de fermer les yeux, naïvement, pour voir ce qu’elles ne voient pas. Sans succès, car en les côtoyant, je me suis rendu compte qu’elles voyaient ce que je ne voyais pas, et inversement.
Et il m’a semblé absurde d’essayer de comparer ou de chercher une différence.
Delphine Warin
Ce livre est accompagné d’un DVD incluant photographies, témoignages des mères aveugles et une bande sonore des textes qui accompagne le livre.
Cette exposition et le livre ont été publié grâce au soutien de la Fondation Orange, dans le cadre de son mécénat en faveur des déficients visuels, la Fondation Orange soutient des projets destinés à améliorer la qualité de vie des personnes malvoyantes ou atteintes de cécité totale en leur facilitant l’accès à l’autonomie, à la culture, à l’information et à l’éducation.
29 septembre 2009
Jeu de Paume – Hôtel de Sully
Denise Colomb aux AntillesDenise Colomb a réalisé deux grands reportages en Martinique, en Guadeloupe et en Haïti, en 1948 et 1958. Le premier voyage a été initié par Aimé Césaire qui lui a confié sa toute première commande en l’invitant à se joindre aux commémorations du centenaire de l’abolition de l’esclavage dans les Antilles françaises (1848-1948). Elle y est retournée dix ans plus tard, avec une commande de la Compagnie générale transatlantique et a alors également pris des clichés en couleur.
Ces deux reportages, qui traitent de la vie quotidienne et des coutumes antillaises, constituent l’ensemble thématique le plus important, en termes de quantité et de qualité (9 100 prises de vue), dans le fonds Denise Colomb, en dehors de son travail sur les peintres. Ces deux dates (1948-1958) marquent symboliquement la grande période d’activité de Denise Colomb pendant laquelle elle exprime le mieux sa vision humaniste.
À partir de 1999, Denise Colomb et Noël Bourcier, commissaire de l’exposition, ont commencé une sélection de photographies, rassemblé les écrits de voyages (notes ethnographiques et réflexions) ainsi que des articles de presse (notamment l’article cosigné Colomb/Césaire dans Regards). Mais ce projet n’a pu voir le jour du vivant de Denise Colomb, disparue le 1er janvier 2004, à l’âge de 101 ans.
11 juillet 2009
Librairie Forum-Harmonia Mundi
Rencontres/signatures Arles – 11 juilletMister G
Gilbert Garcin
Yves Gerbal, Christine Ollier
Le chemin de cécité
René Tanguy
Gaston-Paul Effa
Corpus
Catherine Poncin
Van Speybroeck Daan
Pour Zarma, changer à Babylone
Collectif Odessa
Marion Lefebvre, Benjamin Bechet, Polo Garat, Vincent Lacotte, Jérome Navarre
ma maison voisine
Audrey Armand
Africa X-Ray
Xavier Lucchesi
Jean-Louis Poitevin, Joëlle Busca, Jean-Pierre Mohen
10 juillet 2009
Librairie Actes Sud
Rencontres/signatures Arles – 10 juilletUne campagne photographique
Thibaut Cuisset
Gilles A. Tiberghien
Dos à la mer
Geoffroy Mathieu
Les autres
Christophe Goussard
Christophe Dabitch
Hyper
Denis Darzacq
Amanda Crawley Jackson
Un hiver d’oise
Thierry Girard
Semantic tramps
Christophe Beauregard
Arlette Farge
Petites machines à images
Laurent Millet
François Seigneur