Éric Rondepierre travaille à partir d’un corpus cinématographique dont il exploite les ressources insoupçonnées.
Contrebande retrace l’histoire d’une de ces recherches menée dans les Balkans. Dans l’atmosphère sordide d’un cinéma porno, il découvre une « nouvelle image » dont il décrit abondamment les variations, les procédures, les conditions concrètes d’apparition et qu’il résume en une équation : « moins x sur deux égal un ». Narration, souvenirs, réflexions et descriptions se mêlent pour donner à Contrebande toute la saveur concrète d’un témoignage.
Contrebande retrace l’histoire d’une de ces recherches menée dans les Balkans. Dans l’atmosphère sordide d’un cinéma porno, il découvre une « nouvelle image » dont il décrit abondamment les variations, les procédures, les conditions concrètes d’apparition et qu’il résume en une équation : « moins x sur deux égal un ». Narration, souvenirs, réflexions et descriptions se mêlent pour donner à Contrebande toute la saveur concrète d’un témoignage.
1950. Naissance à Orléans.
-Diplômé des Beaux-Arts de Paris, (dessin, gravure)
-Docteur en Esthétique (Thèse sur « Les yeux verts » de Marguerite Duras, Paris I).
-Agrégé d’Arts Plastiques
Sa maîtrise d’Arts Plastiques porte sur le théâtre de S.I. Witkiewicz (Paris 1, 1976), et son DEA de littérature comparée sur « L’image écrite » (Paris VII, 1983).
Sa formation pluridisciplinaire et ses goûts personnels l’entraînent sur plusieurs voies. Comédien professionnel, il a travaillé en France et en Europe avec des metteurs en scène de théâtre (Pierre Chabert, Le Théâtre d’En face, Bruno Meyssat) et avec des chorégraphes (Mathilde Monnier, Alain Rigout, Grands Magasins, Catherine Diverres et Bernardo Montet). Il a réalisé un court-métrage, des performances, et plus tardivement, des peintures (1985-90).
Au début des années 90, il commence à explorer les « angles morts » du dispositif cinématographique. Son intervention consiste à choisir selon des critères bien définis, puis à extraire des photogrammes (c’est-à-dire des images qui apparaissent sur l’écran 1/24ème de seconde et qui sont invisibles lors d’une projection normale) pour ensuite les proposer sous la forme de tirages photographiques de grand format. Cette économie de l’image, souvent qualifiée de « conceptuelle», mobilise plusieurs registres (texte, peinture, cinéma, photographie) avec une rigueur qui n’exclut pas l’étrangeté ou l’humour.
Tandis que ses expositions se multiplient en France et à l’étranger, il commence à écrire des textes de fiction autour de son travail photographique.
1996. Il est nommé professeur associé à l’Université de Paris I (Panthéon-Sorbonne).
Depuis 2002, l’œuvre s’est diversifiée. L’artiste utilise ses propres images qu’il recompose avec ses textes, ou ses dessins ou encore avec des images de cinéma qu’il s’approprie. Par ailleurs, ses ouvrages récents explorent d’autres territoires (fictionnels ou autobiographiques).
-Diplômé des Beaux-Arts de Paris, (dessin, gravure)
-Docteur en Esthétique (Thèse sur « Les yeux verts » de Marguerite Duras, Paris I).
-Agrégé d’Arts Plastiques
Sa maîtrise d’Arts Plastiques porte sur le théâtre de S.I. Witkiewicz (Paris 1, 1976), et son DEA de littérature comparée sur « L’image écrite » (Paris VII, 1983).
Sa formation pluridisciplinaire et ses goûts personnels l’entraînent sur plusieurs voies. Comédien professionnel, il a travaillé en France et en Europe avec des metteurs en scène de théâtre (Pierre Chabert, Le Théâtre d’En face, Bruno Meyssat) et avec des chorégraphes (Mathilde Monnier, Alain Rigout, Grands Magasins, Catherine Diverres et Bernardo Montet). Il a réalisé un court-métrage, des performances, et plus tardivement, des peintures (1985-90).
Au début des années 90, il commence à explorer les « angles morts » du dispositif cinématographique. Son intervention consiste à choisir selon des critères bien définis, puis à extraire des photogrammes (c’est-à-dire des images qui apparaissent sur l’écran 1/24ème de seconde et qui sont invisibles lors d’une projection normale) pour ensuite les proposer sous la forme de tirages photographiques de grand format. Cette économie de l’image, souvent qualifiée de « conceptuelle», mobilise plusieurs registres (texte, peinture, cinéma, photographie) avec une rigueur qui n’exclut pas l’étrangeté ou l’humour.
Tandis que ses expositions se multiplient en France et à l’étranger, il commence à écrire des textes de fiction autour de son travail photographique.
1996. Il est nommé professeur associé à l’Université de Paris I (Panthéon-Sorbonne).
Depuis 2002, l’œuvre s’est diversifiée. L’artiste utilise ses propres images qu’il recompose avec ses textes, ou ses dessins ou encore avec des images de cinéma qu’il s’approprie. Par ailleurs, ses ouvrages récents explorent d’autres territoires (fictionnels ou autobiographiques).