Maya Goded commence ses études de photographie et sociologie à Mexico en 1985. De 1989 à 1992, elle étudie à New York à l’Institute Center Photography. Elle commence à travailler en 1993 en étant assistante de la photographe Graciela Iturbide. A partir de cette année, elle reçoit différentes bourses et prix dont la Mother Jones Foundation (Californie USA), le Master Class, World Press Photo (Amsterdam, pays-Bas)…Elle recevra le prestigieux prix W.Eugène Smith en 2001 pour son travail « Plaza de la soledad » sur le milieu des prostituées à Mexico City. Travaillant ainsi durant 5 ans face à face avec des femmes, sur l’inégalité, la transgression, la croyance, l’enfance, les personnes âgées, le corps, le sexe et la maternité. Maya Goded continue à travailler sur l’univers des femmes. Dans un projet au long cours, elle s’intéresse aussi au monde de la croyance du chamanisme. De nombreuses expositions ont salué son travail, « Tierra Negra » au musée Maco au Mexique, « Mexico’s third root : black earth » en Afrique du Sud, « Promesa e Insulto » au centre culturel de San Pablo au Brésil, « Sexo servidoras » en Espagne et au Pérou, « Todas regresamos a la calle » à Mexico.
Née en 1970. Vit au Mexique, à Mexico.
Nommée à Magnum Photos en 2002.
Nommée à Magnum Photos en 2002.
Maya Goded commence ses études de photographie et sociologie à Mexico en 1985. De 1989 à 1992, elle étudie à New York à l’Institute Center Photography. Elle commence à travailler en 1993 en étant assistante de la photographe Graciela Iturbide. A partir de cette année elle reçoit différentes bourses et prix dont la Mother Jones Foundation (Californie USA), le Master Class, World Press Photo (Amsterdam, Pays Bas)… Elle recevra le prestigieux prix W. Eugene Smith en 2001 pour son travail « Plaza de la soledad » sur le milieu des prostitués à Mexico City. Travaillant ainsi durant 5 ans face à face avec des femmes, sur l’inégalité, la transgression, la croyance, l‘enfance, les personnes âgées, le corps, le sexe et la maternité. Maya Goded continue à travailler sur l’univers des femmes. Dans un projet au long cours, elle s’intéresse aussi au monde de la croyance et du chamanisme. De nombreuses expositions ont salué son travail, « Tierra Negra » au musée Maco au Mexique, « Mexico’s third root : black earth » en Afrique du Sud, « Promesa e Insulto » au Centre culturel de San Pablo au Brésil, « Sexo servidoras » en Espagne et au Pérou, « Todas regresamos a la calle » à Mexico.