Lumière ! À l’ère du numérique, nombreux sont ceux qui oublient que la photographie vient de la lumière et du moment où elle impressionne la pellicule ! Une pellicule et non un fichier ! Pour cette cinquième édition, la plupart des photographes, mais aussi de nombreux étudiants, ont utilisé l’argentique, du nom du sel d’argent qui recouvre les films. La nouvelle école invitée, l’Ostkreuzschule de Berlin, n’autorise ses étudiants à travailler en digital qu’en troisième année !
Non par nostalgie ou snobisme, mais tout simplement parce que pour restituer la lumière il n’y a pas mieux que l’argentique. Sarah Moon utilise ses derniers films polaroids négatifs, ce sont eux qui restituent le mieux la lumière hivernale de la plage. Idem pour Rinko Kawauchi, fascinée par les mouvements du ciel et de la mer. Même chose pour Thierry Dreyfus, spécialiste des mises en lumière (artificielles), en quête (perpétuelle) de la lumière naturelle.
Certes, l’on peut objecter que Philippe Ramette n’aurait pas pu réaliser ses images sans la retouche numérique. Il a utilisé un appareil numérique, mais il bannit de sa pratique artistique toute retouche au Photoshop ou autres logiciels, le film Making of que nous diffusons dans les lieux d’exposition en témoigne ! Henry Roy a suivi le départ de la course du Figaro, comme s’il filmait un rêve en couleur, des impressions, que des impressions de l’instant vécu et magique…
L’Allemande Kristine Thiemann est elle allée à la rencontre des Deauvillais, pour de nombreuses parties de fous rires… et des photos inédites et drôles !
Enfin, Camille Picquot et Tono Mejuto, les deux lauréats du Prix de la Fondation Louis Roederer 2013, ont pu revenir à Deauville pour parfaire et poursuivre leurs travaux engagés l’année dernière.
Cinquième année de notre promenade photographique, toujours de l’inédit, et encore de nouveaux regards sur la ville !
Non par nostalgie ou snobisme, mais tout simplement parce que pour restituer la lumière il n’y a pas mieux que l’argentique. Sarah Moon utilise ses derniers films polaroids négatifs, ce sont eux qui restituent le mieux la lumière hivernale de la plage. Idem pour Rinko Kawauchi, fascinée par les mouvements du ciel et de la mer. Même chose pour Thierry Dreyfus, spécialiste des mises en lumière (artificielles), en quête (perpétuelle) de la lumière naturelle.
Certes, l’on peut objecter que Philippe Ramette n’aurait pas pu réaliser ses images sans la retouche numérique. Il a utilisé un appareil numérique, mais il bannit de sa pratique artistique toute retouche au Photoshop ou autres logiciels, le film Making of que nous diffusons dans les lieux d’exposition en témoigne ! Henry Roy a suivi le départ de la course du Figaro, comme s’il filmait un rêve en couleur, des impressions, que des impressions de l’instant vécu et magique…
L’Allemande Kristine Thiemann est elle allée à la rencontre des Deauvillais, pour de nombreuses parties de fous rires… et des photos inédites et drôles !
Enfin, Camille Picquot et Tono Mejuto, les deux lauréats du Prix de la Fondation Louis Roederer 2013, ont pu revenir à Deauville pour parfaire et poursuivre leurs travaux engagés l’année dernière.
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Patrick Remy
Directeur artistique
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