Il n’est pas question de sport. Il n’y a pas de vainqueur. Il n’y a pas de vaincu. Il n’est question que du rituel de l’affrontement, de l’initiation au combat. D’un côté, la boxe anglaise. Cinquante boxeurs reclus dans une église, au coeur d’un bidonville. Cinquante corps en sueur dans une salle volontairement privée d’oxygène. Sous un néon fatigué, cinquante parias, mystiques obsédés par le fantôme de Mohammed Ali.
De l’autre côté, la lutte sénégalaise. Joutes à ciel ouvert dans les arènes sableuses. Des corps pleins, reposés. Un duel de fête au coeur des villes et des villages.
De l’autre côté, la lutte sénégalaise. Joutes à ciel ouvert dans les arènes sableuses. Des corps pleins, reposés. Un duel de fête au coeur des villes et des villages.
Il nous reste très peu d’exemplaire de cet ouvrage.