Les photographies envahissent naturellement la vie du photographe, ou du moins devraient-elles le faire.
Chaque jour s’habite d’images remontées lentement du fond de notre mémoire et qui finissent par constituer une forme d’univers visuel. Cette constellation en constante expansion, et dont l’aspect ne cesse de muter, fonde la base du rapport à l’objet photographique, au tirage, à la pratique, à l’opérateur. A l’outil et à la vision.
De mémoire naît du désir de présenter cet univers. Confrontant, page après page un texte à une photographie de façon à faire émerger un troisième objet. Avec ce procédé rigoureux, De mémoire rend un hommage personnel et subjectif aux "petites images de la grande photographie", aux anonymes aimés et aux maîtres vivants ou morts. A la pratique d’une matière inépuisable et aux phantasmes des images qui n’existeront jamais que dans l’imaginaire de l’auteur.
De mémoire est le premier ouvrage monographique de David Gagnebin-de Bons.
Chaque jour s’habite d’images remontées lentement du fond de notre mémoire et qui finissent par constituer une forme d’univers visuel. Cette constellation en constante expansion, et dont l’aspect ne cesse de muter, fonde la base du rapport à l’objet photographique, au tirage, à la pratique, à l’opérateur. A l’outil et à la vision.
De mémoire naît du désir de présenter cet univers. Confrontant, page après page un texte à une photographie de façon à faire émerger un troisième objet. Avec ce procédé rigoureux, De mémoire rend un hommage personnel et subjectif aux "petites images de la grande photographie", aux anonymes aimés et aux maîtres vivants ou morts. A la pratique d’une matière inépuisable et aux phantasmes des images qui n’existeront jamais que dans l’imaginaire de l’auteur.
De mémoire est le premier ouvrage monographique de David Gagnebin-de Bons.
(vit et travaille à Lausanne – CH) est né en 1979.
Il est un observateur attentif du monde physique, qu’il retranscrit dans des images dont le formalisme réaliste se mêle par fois au surnaturel. Les champs de recherche qui lui sont chers sont les possibilités d’échanges entre l’image photographique et la littérature, de même que les lieux du souvenir.
Il est un observateur attentif du monde physique, qu’il retranscrit dans des images dont le formalisme réaliste se mêle par fois au surnaturel. Les champs de recherche qui lui sont chers sont les possibilités d’échanges entre l’image photographique et la littérature, de même que les lieux du souvenir.