Photojournaliste, Guy Tillim propose une série sur sa ville natale, dans laquelle de nombreux quartiers abandonnés ont été occupés par des immigrés issus des anciens ghettos de l’apartheid. Photojournaliste (représenté par l’agence Vu),Guy Tillim (Johannesburg, Afrique du Sud, 1962) propose une série sur sa ville natale, dans laquelle de nombreux quartiers abandonnés ont été occupés par des immigrés issus des anciens ghettos de l’apartheid. Cette serie de photographies de Johannesburg se propose de suivre les destins des habitants de cette ville construite sur les fondements de l’apartheid. La question implicitement posée par ce travail étant de savoir si Johannesburg redeviendra une ville symbole de l’exclusion, ou si des progrès seront fait pour intégrer les habitants les plus démunis.
Ce travail a reçu le Prix Leica Oskar Barnak en 2005.
Ce livre est presque épuisé ce qui justifie un prix plus élevé.
Né en 1962 à Johannesbourg, Afrique du Sud, il vit et travaille à Durban et Paris. Photojournaliste, il rejoint le collectif Afrapix (1986-1990) et commence par témoigner des fusillades dans les townships. La qualité de ses reportages lui vaut d’être appelé par Reuters (1986-1988) et l’AFP (1993-19994). Puis Tillim devient free-lance et s’engage à couvrir les conflits mondiaux. Bien que son œuvre parle essentiellement de la guerre, Tillim a décliné ce thème en une variété d’approches : portraits, points de conflits et paysage urbain. En 2004, il a obtenu le prix Daimler Chrysler pour la photographie en Afrique du Sud et en 2005, le prix Oskar Barnack sponsorisé par Leica.
