Vêtement vides, peints, assemblés, vêtures immenses, robe blanche puis rouge. Isabelle GRELET cherche à travers le souvenir et avec le tissu, à rencontrer celle qui fut, et n’est plus là. Elle parle de sa grand-mère, couturière et peintre.
De cette décendance féminine, une couleur s’est imposée, le rouge, un objet, la robe.