Un regard était là.
Je revis alors les portraits de Nadar, immortalisés.
Et pourquoi cette pensée à Orphée, et sa lumière du jour ?
L’autre côté du miroir de soie !
Fil funambulesque.
Livre original dans sa forme, car c’est le lecteur qui compose, qui colle les images qui sont imprimées sur un support adhésif, il peut même écrire des textes, chaque ouvrage devient donc unique.
C’est Paul Jay, premier conservateur du musée Nicéphore Niépce, qui sut déceler dès 1974 les talents de photographe d’Yvon Le Marlec, alors dessinateur au service architecture de la Ville de Chalon-sur-Saône.
Celui-ci intègre alors la petite équipe du musée et réalise ses premiers tirages : une exposition consacrée aux monnaies romaines des collections du musée Denon, des travaux en compagnie de Jean Messagier, des reproductions des collections du musée Niépce.
En 1977, Jean-Pierre Sudre l’accueille en stage pour une année. De retour au musée, Yvon Le Marlec participe aux travaux de laboratoire et réalise de nouvelles expositions « L’enfant et la marionnette », le fonds Tournassoud, le Roman Photo de Nicéphore Niépce.