Ces deux regards d’auteurs nous font découvrir un aspect de la vie quotidienne des tsiganes de l’Europe de l’Est. Ce livre tendre de poésie, dur de réalité, enivrant de surréalisme est un profond moment d’émotion. Il nous transporte d’un pays à l’autre, sans complaisance pour l’exotisme ou l’esthétisme. On y trouve une noblesse des visages, une élégance des attitudes, que prolonge l’écriture de Matéo Maximoff, seul écrivain tsigane vivant en France.