Pendant ces deux dernières années, Katharina Bosse a photographié les acteurs du Burlesque aux Etats-Unis.
A travers tout le pays, dans des villes comme New Orleans, Memphis, Denver, Seattle, Portland, Boston, Atlanta, et bien sûr Los Angeles et New-York, des artistes, seuls ou en groupe redécouvrent l’art du Burlesque.
«Le Burlesque est surtout une sorte de striptease démodé, où l’accent est mis sur la suggestion et non sur la nudité. Il y a souvent de l’humour et des éléments comiques. C’est différent du striptease commercial en ce que les acteurs ne forcent pas le public à donner de l’argent. En fait, on ne gagne pas beaucoup d’argent avec le burlesque. Les acteurs le font pour l’amour de jouer, d’être sur scène et de s’exprimer. Chacun est unique, et (sur scène) on trouve un large éventail d’âge et de corpulence. Généralement , il n’y a pas de metteur en scène, les acteurs créent eux-mêmes leur personnage, costumes et chorégraphies. Le nouveau Burlesque est à mi-chemin entre une représentation classique et des variétés style Las Vegas, épicé d’ironie postmoderne».
A travers tout le pays, dans des villes comme New Orleans, Memphis, Denver, Seattle, Portland, Boston, Atlanta, et bien sûr Los Angeles et New-York, des artistes, seuls ou en groupe redécouvrent l’art du Burlesque.
«Le Burlesque est surtout une sorte de striptease démodé, où l’accent est mis sur la suggestion et non sur la nudité. Il y a souvent de l’humour et des éléments comiques. C’est différent du striptease commercial en ce que les acteurs ne forcent pas le public à donner de l’argent. En fait, on ne gagne pas beaucoup d’argent avec le burlesque. Les acteurs le font pour l’amour de jouer, d’être sur scène et de s’exprimer. Chacun est unique, et (sur scène) on trouve un large éventail d’âge et de corpulence. Généralement , il n’y a pas de metteur en scène, les acteurs créent eux-mêmes leur personnage, costumes et chorégraphies. Le nouveau Burlesque est à mi-chemin entre une représentation classique et des variétés style Las Vegas, épicé d’ironie postmoderne».