Et pourquoi pas ? Pourquoi ne pas faire appel à des photographes de magazines, voire de mode, pour photographier Deauville ? Ils ont l’habitude des commandes, mais aussi des contingences commerciales et possèdent surtout l’habileté de faire entrer l’art en contrebande…
Cette année, pour cette troisième édition de Planche(S) Contact, nous avons fait appel à des photographes que l’on croise le plus souvent dans les magazines (mais également dans des galeries et des musées), comme Paolo Roversi, un « portraitiste de mode », comme il aime se définir, star incontestée du genre depuis plus de vingt ans. À ses côtés, la jeune génération incarnée par la Canadienne Kourtney Roy, qui se met en scène et joue avec brio avec la nostalgie des années 60. Simon Procter, un amoureux des chevaux, a capturé de manière spectaculaire trois moments équestres privilégiés de la ville. Tania et Vincent, eux aussi, distillent leurs natures mortes inspirées dans les magazines ou des commandes pour des marques de luxe. Enfin, la lauréate du prix Fondation Louis Roederer de l’année dernière, Kate Fichard, qui ne travaille pas encore pour des magazines – mais ça ne saurait tarder –, continue d’explorer Deauville avec son regard affûté et pertinent. Loin des magazines, Filip Dujardin a métamorphosé, avec un humour digne des surréalistes belges dont il se revendique, l’architecture et les paysages de Deauville : décapant !
Patrick Remy Directeur artistique
Cette année, pour cette troisième édition de Planche(S) Contact, nous avons fait appel à des photographes que l’on croise le plus souvent dans les magazines (mais également dans des galeries et des musées), comme Paolo Roversi, un « portraitiste de mode », comme il aime se définir, star incontestée du genre depuis plus de vingt ans. À ses côtés, la jeune génération incarnée par la Canadienne Kourtney Roy, qui se met en scène et joue avec brio avec la nostalgie des années 60. Simon Procter, un amoureux des chevaux, a capturé de manière spectaculaire trois moments équestres privilégiés de la ville. Tania et Vincent, eux aussi, distillent leurs natures mortes inspirées dans les magazines ou des commandes pour des marques de luxe. Enfin, la lauréate du prix Fondation Louis Roederer de l’année dernière, Kate Fichard, qui ne travaille pas encore pour des magazines – mais ça ne saurait tarder –, continue d’explorer Deauville avec son regard affûté et pertinent. Loin des magazines, Filip Dujardin a métamorphosé, avec un humour digne des surréalistes belges dont il se revendique, l’architecture et les paysages de Deauville : décapant !
Patrick Remy Directeur artistique
Planches Contact #14
Deauville Planches Contact
Laura Serani
Planches Contact #13
Deauville Planches Contact
Laura Serani
Planches Contact #12
Deauville Planches Contact
Laura Serani
Planches Contact #11
Deauville Planches Contact
Laura Serani
Planche(s) Contact #10
Deauville Planches Contact
Laura Serani
Planche(s) Contact #9
Deauville Planches Contact
Planche(s) Contact #8
Deauville Planches Contact
Planche(s) Contact #7
Deauville Planches Contact
Planche(s) Contact #6
Deauville Planches Contact
Planche(s) Contact #5
Deauville Planches Contact
Planche(s) Contact # 4
Deauville Planches Contact
Planches Contact 3
Deauville Planches Contact
Planche(s) Contact 1-2
Deauville Planches Contact