Argentique opéra

Argentique opéra

Il en a coûté à Bernard Guillot de briser le tabou de la photographie intouchable, du transfert sacrosaint du négatif au positif via l’argentique. Il photographie mais il a toujours peint ! Un jour, il franchit le Rubicon, insatisfait de certains tirages. Et la fusion des deux médiums qui procèdent d’une même source s’opéra.
Co-production
Galerie Frédéric Moisan
Parution
31/03/2013
Collection
Hors Collection
Format
240 x 315
Broché
16 pages
ISBN : 978-2-35046-291-2
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La naissance en 1950 de cet artiste français est déjà marquée par une géographie qui va déterminer des territoires intérieurs : Bâle, au bord du Rhin, aux trois frontières . Depuis de nombreuses années, Bernard Guillot partage sa vie entre l’Egypte et la France . Deux sensations du temps, deux sensations de civilisation, deux appartenances au monde, mais une unité de temps et de lieu, ou d’atemporalité et d’extraterritorialité, dans un regard double : la photographie et la peinture, avec un goût du merveilleux, de l’énigme, de l’intemporel .
C’est l’esprit du Noir et Blanc en photographie qu’il montre chez Agathe Gaillard, pour sa première exposition rue du Pont-Louis-Philippe, depuis ses premières images tirées de sa série Saint Sulpice de 1978 jusqu’aux plus récentes.