Le ciel est haut, la terre est basse, il n’y a que la table et le lit qui soient à la bonne hauteur.
C’est la découverte de ce proverbe anonyme qui a tout déclenché. C’est toujours sans nous y préparer que l’inspiration apparaît. Elle s’accroche mystérieusement à un petit rien qui résonne en nous et nous presse sur un chemin de création jusque là inexistant, qui ne se trace que parce qu’on l’emprunte.
Le projet Mignardises est donc né de la délicieuse petite phrase qui incarne à merveille cette posture existentielle française, vaguement désenchantée, qui admet la nature triviale de notre condition humaine – située à mi-chemin entre les dieux et les bêtes – et nous invite à en jouir avec simplicité, à hauteur d’homme.
Exposé à la Galerie Le 29 pendant le Festival International de la Photographie Culinaire à Paris et au lancement de Radical Dining Society en Angleterre en 2012, puis à la galerie Le Triton aux Lilas et au Bé2M à Nantes en 2013, ma série Mignardises a également été publié dans plusieurs revues photographiques tels que Raw Photo magazine et Regards.
C’est sous la forme d’un livre que cette compilation jubilatoire, qui allie le sel de l’esprit au poivre de la chair, va aujourd’hui trouver son aboutissement.
Le projet Mignardises est donc né de la délicieuse petite phrase qui incarne à merveille cette posture existentielle française, vaguement désenchantée, qui admet la nature triviale de notre condition humaine – située à mi-chemin entre les dieux et les bêtes – et nous invite à en jouir avec simplicité, à hauteur d’homme.
Exposé à la Galerie Le 29 pendant le Festival International de la Photographie Culinaire à Paris et au lancement de Radical Dining Society en Angleterre en 2012, puis à la galerie Le Triton aux Lilas et au Bé2M à Nantes en 2013, ma série Mignardises a également été publié dans plusieurs revues photographiques tels que Raw Photo magazine et Regards.
C’est sous la forme d’un livre que cette compilation jubilatoire, qui allie le sel de l’esprit au poivre de la chair, va aujourd’hui trouver son aboutissement.
Née en 1972, photographe plasticienne, elle rejoint Odessa en 2006.
Formée à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Toulouse et au Kent Institue of Art & Design en Angleterre, elle s’intéresse aux enjeux inhérents à la notion de l’Être et tout particulièrement à la figure de l’Autre qui niche en son sein. Son travail explore les territoires intérieurs de l’homme; c’est à partir des noeuds mythiques, des seuils de passage et des points névralgiques de cette psycho géographie que se développe sa recherche photographique. Les images sont alors des lieux où le proche et le lointain coexistent, où l’étranger peut se révéler comme partie constituant du même.
Marie Meerson Psychothérapeute française exerçant à Londres et à Paris.
Francis Ricard est auteur toulousain, professeur de lettres, aficionado, photographe.
Auteur toulousain, professeur de lettres, aficionado, photographe, plasticien, Francis Ricard a publié deux recueils de poésies chez L’Harmattan , La Boîte noire (mars 2001) et L’Heure juste (septembre 2002), un essai Éclipse(s) (décembre 2002) aux éditions de l’Épure, La Corrida des ombres, textes et photographies (décembre 2003) chez Atlantica, Le Sang (2005) aux édition de l’Épure, En un seul souffle (2007) chez Cheyne éditeur, collection Grands Fonds.
Auteur toulousain, professeur de lettres, aficionado, photographe, plasticien, Francis Ricard a publié deux recueils de poésies chez L’Harmattan , La Boîte noire (mars 2001) et L’Heure juste (septembre 2002), un essai Éclipse(s) (décembre 2002) aux éditions de l’Épure, La Corrida des ombres, textes et photographies (décembre 2003) chez Atlantica, Le Sang (2005) aux édition de l’Épure, En un seul souffle (2007) chez Cheyne éditeur, collection Grands Fonds.